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Digital Ocean : si bien que ça ? Le test complet

Aujourd’hui j’ai décidé de vous présenter Digital Ocean, une solution intéressante pour héberger vos sites webs avec de très bonnes performances à moindre coût. L’utilisation via bien au delà de l’hébergement puisque vous pourrez disposer de votre propre serveur dédié.

D’ailleurs, pour un simple hébergement de site internet, par exemple si vous décidez de créer un blog, je vous conseillerais plutôt bluehost, un des leaders de l’hébergement web, qui vous offre un nom de domaine pour toute inscription et qui démarre à $3.95/mois, plutôt sympa 😉 !

Si vous avez entendu parlé de Digital Ocean mais que c’est encore un peu flou, ou si vous souhaitez franchir le cap mais qu’il vous manque encore un peu d’infos, vous êtes au bon endroit.

Si vous travaillez pour une entreprise, je vous ai  préparé une interview avec Innovantic, société éditrice d’applications mobiles, qui vient de basculer son hébergement sur DigitalOcean. Nous aurons donc des retours concrets d’une telle solution dans un milieu où la moindre erreur ne pardonne pas.

Dans cet article je répondrai au questions suivantes :

  • Qu’est-ce que Digital Ocean ?
  • Quelle est leur offre et convient-elle à votre besoin ?
  • Quel peut-être l’intérêt d’une telle solution en entreprise ?
  • Qu’est ce qu’un serveur cloud SSD ? un droplet ?
  • Comment créer et configurer sa machine ?
  • Si j’ai déjà des noms de domaines, puis-je quand même les utiliser ?

En bonus, grâce à ce lien, vous recevez 10$ (soit 2 mois gratuits), idéal pour mettre en pratique l’article en temps réel et franchir le pas tout en douceur 😛 .

Digital Ocean, c’est quoi au juste ?

Digital Ocean est avant tout une startup fondée en 2011, qui explose en 2013 en dépassant Amazon pour le service d’hébergement cloud (source). Pour les développeurs qui lisent cet article, JQuery ou Redis ont par exemple fait le choix de Digital Ocean pour héberger leur technos respectives. Pourquoi un tel engouement ? Il ne faut pas bien longtemps pour repérer le slogan de la startup, sur la homepage comme dans la description de leur site :

« Spin up an SSD cloud server, with full root access, in under a minute. »

 

Ou encore sur le formulaire d’inscription :

inscription a digital ocean

La croissance de DigitalOcean est sans aucun doute liée à cette promesse plutôt alléchante, fournir un serveur cloud SSD à 5$ par mois, le tout en moins d’une minute.

Oui mais, c’est quoi un serveur cloud ?

A l’utilisation c’est comme un serveur dédié standard. Vous aurez votre adresse IP, votre accès root en SSH, la main sur votre serveur comme si vous aviez un serveur dédié lambda.

La différence, c’est sous le capot. Au lieu d’avoir une machine réelle, physiquement indépendante, vous bénéficiez d’une machine virtuelle hébergée dans le cloud. Vous bénéficiez de la puissance de calcul du cloud sur votre serveur et de tous les avantages du « nuage », comme nous allons le voir rapidement.

Exemple de la configuration minimale pour votre machine

Le cloud permet d’obtenir une puissance de calcul et une bande passante considérable à moindre coût. Par exemple voici la plus petite offre chez DigitalOcean, à 5 dollars par mois, largement suffisante pour un hébergement de site sous WordPress, par exemple.

  • 512MB Memory
  • 1 Core Processor
  • 20GB SSD Disk
  • 1TB Transfer

J’ai commencé avec cette offre, aucun soucis pour faire tourner 2 sites sous wordpress, et j’ai encore de la marge.

Les avantages du cloud

La bande passante de 1TB est très intéressante à ce prix là.

L’ un des gros intérêts du cloud, c’ est de pouvoir scale (augmenter) la mémoire, le processeur, le disque dur et la bande passante à tout moment pour n’importe quel droplet, le tout en quelques clics depuis votre interface digitalOcean (nous y reviendrons un peu plus tard).

Ainsi, pour prendre un exemple rapide, vous pouvez démarrer tout petit, et si jamais vous passez de 100 a 1000 visiteurs par jours sur votre site, ou si vous avez besoin de plus de ressource pour votre serveur, vous avez juste à faire quelques clics pour supporter la montée en charge. Plutôt pratique 🙂 .

Maintenant que vous en savez un peu plus sur le cloud et ses avantages, rentrons dans le très concret et voyons comment installer sa machine, ou « droplet » dans le jargon Digital Ocean.

Configuration et installation d’un droplet

Choix de la distribution

Comme pour une installation de serveur dédié classique, nous commençons par le choix de la distribution. Il est aussi possible d’utiliser le « one-click Apps », qui permet d’installer une machine toute prête avec ce que l’on souhaite dessus, comme WordPress, Magento, Joomla.

 

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Pour la suite des explications j’utiliserai couramment le mot « droplet« . C’est le terme choisi par DigitalOcean pour qualifier votre machine. 1 droplet = 1 machine virtuelle dans le cloud, tout simplement.

Le choix de la distribution est la première étape de votre aventure. Voici les distributions Linux disponibles :

Digital ocean : distribution du droplet

Nous avons donc le choix entre Ubuntu, FreeBSD, Fedora, Debian, CoreOS et CentOS. J’utilise généralement la distribution Debian plutôt réputée stable et sécurisée.

Les goûts et les couleurs ! Le choix d’une distribution pour votre droplet est idéal si vous avez un minimum de connaissances en administration serveur et en GNU Linux. Si ce n’est pas le cas, vous pouvez utiliser leur système d’application en un clic pour vous faciliter la tâche.

 

Ou bien utiliser le « one-click Apps », ou application en un clic

Il est aussi possible d’utiliser le « one-click Apps« . Cette option vous permet de créer un droplet configuré directement pour faire tourner l’application de votre choix, par exemple le CMS WordPress. Voici toutes les applications disponibles :

Application en un clic pour le droplet

A ce jour nous avons déjà un choix intéressant. J’en profite pour noter que DigitalOcean a mis en place un système de feedbacks où l’on peut faire part des améliorations souhaitées. En fin d’article une partie sera réservée à ce système, très intéressant pour nous, utilisateurs.

Configuration de votre droplet

La troisième étape est le choix du matériel de votre droplet. C’est ici que vous allez pouvoir choisir la puissance ! Si vous souhaitez tester sans risque je vous conseille de prendre la plus petit formule à 5$ par mois ( 2 mois d’essai gratuit avec ce lien).

Voici les options disponibles, une image vaut mieux qu’un long discours :

Configuration du droplet digital ocean

On remarque rapidement que pour toutes les formules nous avons droit au SSD (solid-state drive), c’est à dire du stockage sur de la mémoire flash, bien plus rapide qu’un disque dur lambda.

Pour les plus curieux l’article de wikipedia vous expliquera ça bien mieux que moi :D.

On remarque aussi la bande passante qui commence à 1TB pour le plus petit pricing, ce qui est très intéressant pour les performances de votre site internet. Un site lent, pour vos visiteurs comme pour le SEO, on sait bien que ce n’est pas forcément optimal 😀 .

J’utilise moi-même des droplets à 5$ et 20$ pour de l’hébergement de sites et pour faire tourner certains programmes maison.

Pour ce qui est de choisir, chacun son besoin. J’héberge plusieurs wordpress grâce à la formule à 5$, et j’aurai prochainement plusieurs boutiques prestashop sur un droplet à 20$.

Tout dépend des ressources que vous comptez utiliser.

Autre exemple intéressant, l’auteur du site aedirn.fr affirme utiliser un droplet à 10 dollars pour l’ensemble de ses sites, qui totalisent plus de 100 000 sessions utilisateurs par mois.

 

Choix du datacenter

Là encore vous avez le choix, puisque DigitalOcean vous propose 7 emplacements géographiques. Si les visiteurs de votre site sont en France, vous pouvez prendre Londres ou Amsterdam, par exemple.

choix du datacenter du droplet

C’est terminé !

Il ne vous reste plus qu’à cliquer sur le bouton « Create ».

En moins d’une minute, vous recevrez un email avec votre accès Root sur la machine. Vous serez invité à changer le mot de passe dès votre première connexion pour des raisons de sécurité.

Il est aussi possible d’ajouter votre clé SSH via l’interface de Digital Ocean.

Vous remarquerez aussi la possibilité d’ajouter autant de droplets que vous le souhaitez (carré « How many Droplets ? ») avec la configuration établie.

C’est à ce stade que vous choisissez le nom de votre machine. Cliquez sur Create, et c’est terminé, votre machine sera prête dans la minute. Alors, plutôt sympa non 🙂 ?

digital ocean validation

 

C’est bon, votre machine est prête… ! En théorie vous devriez recevoir un email du style :

Your new Droplet is all set to go! You can access it using the following credentials:
 
 Droplet Name: mon-super-droplet
 IP Address: l'adresse de votre serv
 Username: root
 Password: unSuperMotDePasseQueVousDevrezChanger

Vous pouvez vous connecter à votre serveur via un SSH classique :

ssh root@adresseIP

Si vous optez pour cette solution vous devriez savoir vous débrouiller. Vous avez la main sur votre nouveau serveur, et vous en faites ce que vous voulez !

Allons plus loin et regardons le panel d’administration DigitalOcean, qui propose plusieurs fonctions intéressantes.

Tour d’horizon du panel DigitalOcean

La gestion de vos droplets

Votre machine est lancée, il est temps de faire un tour sur le dashboard ! Nous allons passer en revue les différentes options, les principales étant le resize et bien sur la possibilité de sauvegarde (backup), automatique ou à la volée de vos droplets à un coût très intéressant.

Pour chacun de vos droplets, vous aurez accès aux menus suivants :

Access

Le menu access pour permet d’accéder à votre droplet ou encore de réinitialiser votre mot de passe root. L’accès au droplet se fait en cliquant sur console access, vous aurez alors un accès SSH directement depuis le site DigitalOcean. Je n’utilise pas cette fonctionnalité car je préfère me connecter via mon terminal, mais ça peut toujours servir !

Power

Le menu power vous permet de couper votre serveur. C’est l’équivalent d’un « hard reset » de votre machine, attention donc au risque de corruption des données. Digital Ocean vous préconise plutôt d’éteindre votre machine via la ligne de commande.

Resize : le gros avantage du cloud

Voilà une partie très intéressante, rendue possible via l’utilisation du cloud : l’augmentation ou la réduction des performances de votre machine virtuelle (mémoire RAM, taille du SSD, procésseur, bande passante) à la volée, en quelques clics.

Une image vaut mieux qu’un long discours 🙂 :

resize du droplet

Deux possibilité :

  • Vous décidez d’augmenter ou de réduire la taille du SSD, de CPU, et de la RAM de votre droplet. Dans ce cas vous ne pourrez plus réduire votre disque dur à l’avenir car la partition sera modifiée. Vous pourrez l’augmenter, si besoin.
  • Vous ne souhaitez pas augmenter le disque dur mais seulement la RAM et le CPU de votre droplet. Dans ce cas vous pourrez revenir à une configuration moins puissante ou bien augmenter encore plus à l’avenir.

Dans les deux cas, il vous suffira de choisir votre nouvelle configuration. Toute votre configuration reste identique, vous ne changez « que le matériel » et vous n’avez rien d’autre à faire pour donner un coup de boost à votre serveur.

Snapshots et backups

On est jamais trop prudent. DigitalOcean l’a bien compris, et nous propose un service de backups automatisés pour 20% du prix du droplet.

Ainsi, si vous avez un droplet à 5$ par mois, le service de sauvegarde vous coutera 1$ par mois.

Le service garantit une sauvegarde par semaine, soit 4 par mois. Imaginons la situation ou une sauvegarde sur 4 échoue, vous ne serez facturé que de 15 % du prix du droplet au lieu de 20 %.

Les backup digital ocean vous permettent de créer un nouveau droplet, une nouvelle machine, à partir d’un backup existant. Ainsi, vous avez la copie conforme de votre serveur disponible à tout moment, que vous pouvez lancer sur un droplet plus ou moins puissant selon votre choix.

Il est aussi possible d’utiliser la fonctionnalité « snapshot« , qui permet de faire une sauvegarde non pas périodiquement mais dès qu’on le souhaite directement via l’interface.

Settings

Les settings vous donnent accès à plusieurs réglage comme l’activation de l’IP v6, d’un réseau privé, ou encore de renommer votre droplet (hostname).

Graphs

Les stats et les diagrammes, c’est toujours sympa. Vous pouvez bien sur installer htop sur votre machine, mais si vous préférez de jolies courbes, c’est possible via le menu Graphs :

utilisation CPU du dropletOn retrouvera l’utilisation du CPU , de la RAM, de la bande passante de votre droplet pour la journée, la semaine, le mois et l’année.

History

L’historique vous donne les dates de création et allumage de votre machine. Je vous l’accorde, je ne m’en sers pas beaucoup 😛 !

Destroy

Pour détruire votre machine virtuelle, ou la recréer à partir d’une nouvelle distrib ou de l’une de vos sauvegardes, c’est par ici que ça se passe.

Nous avons fait le tour les principales options du panneau d’administration.

Comme on peut le voir, les fonctionnalités très utiles sont vraiment la sauvegarde automatique ou le snapshot de vos droplets, et le scale à la volée des ressources de la machine.

Il reste cependant un dernier point technique à aborder, la gestion des noms de domaine sous Digital Ocean. Allons-y !

 

Les noms de domaines

Vous avez très certainement des noms de domaine.. Comment les faire pointer sur vos nouveaux droplets ? Là encore c’est très simple, je prendrai l’exemple de noms de domaines enregistrés chez InternetBS, mais la procédure s’applique à l’ensemble des registrars :).

Il faut tout d’abord changer les name servers de vos domaines. Connectez-vous sur le panel d’administration du domaine voulu, et changez les valeurs comme ceci :

configuration des noms de domaine

L’adresse IP est facultative, vous devez juste saisir les nameservers. Du coté de votre registrar, vous n’avez plus rien à faire. Tout se passe maintenant sur Digital Ocean, via leur interface d’administration.

Cliquez sur Networking en haut du pannel, puis sur Domains, dans le menu de gauche. Ensuite, comme le montre la capture d’écran ci-dessous, vous n’avez qu’à saisir votre nom de domaine dans le champs « Domain », et sélectionner votre droplet. Cliquez sur Create Record pour créer l’enregistrement DNS.

Configuration nom de domaine

L’écran d’après vous permet de créer des alias (CNAME) pour www par exemple, ou n’importe que sous domaine souhaité.

Les DNS sont désormais configuré et votre domaine pointe sur votre droplet. Pratique 🙂 !

 

Le système de feedbacks et la communauté

Je voulais vous parler rapidement de leur système de feedback. C’est très simple, n’importe qui peut demander une fonctionnalité ou une amélioration sur un espace dédié.

Ensuite, il y a un système de votes, et l’équipe de DigitalOcean prend note des améliorations souhaitées par le maximum de personnes. L’intéraction se poursuit jus’au développement de la fonctionnalité. Une startup à l’écoute de ses utilisateurs donc !

Quelques  exemples de demandes dans le top :

exemple de feedback 3 exemple de feedback 2 exemple de feedback 1

Plutôt appréciable d’utiliser un service à l’écoute de ses utilisateur, non ?

Pour conclure j’aimerais faire une petite partie sur l’utilisation de DigitalOcean en entreprise. Il est intéressant de voir ce que peut apporter une solution cloud dans le milieu professionnel, ou il n’y a pas droit au moindre risque.

 

Digital Ocean en entreprise ? rencontre avec Innovantic

MAJ du 19/05/2016

 

Bonjour Larry. Tu es le président de la société Innovantic, spécialisée dans le développement d’application mobile, prêt de Bordeaux. Peux-tu nous présenter ton entreprise en quelques mots ?

Inno​vantic accompagne ses clients dans leur stratégie de transformation digitale en leur proposant des solutions sur mesure :

  • Systèmes d’informations multi-​canaux
  • Applications pour smartphones et tablettes,  iOS et Android.
  • Applications web « responsive design »
  • Conseil fonctionnel et stratégique​

Prestataire de confiance​ et reconnu​, nous intervenons dans l’industrie (Arysta LifeScience, Hager, Liphatech​)​, la presse (Sud-Ouest), le vin (CIVB, C​D​iscount), l’assurance ​ (AG2R)​, pour des startups  (Jobijoba, JeLoueMonCampingCar) ou des collectivités locales​ (GIP Rive droi​te, Coeur du Var)

 

En quoi utiliser Digital Ocean a été bénéfique pour votre activité ?

Les plateformes d’hébergement cloud nous permettent d’offrir à nos clients des solutions qui concilient une très grande qualité de service avec un tarif hyper maîtrisé.

Nous avons commencé avec Amazon Web Services, mais l’offre de Digital Océan est en train de prendre le dessus progressivement, en raison de sa simplicité de mise en oeuvre.

 

Pour conclure …

Il semble que « l’océan digital » ait de beaux jours devant lui ! Avec son offre SSD à 5$ / mois, de nombreuses personnes franchissent le pas chaque jour.

Après quelques tours de table auprès d’investisseurs et plusieurs dizaines de millions de dollars en poches , Digital Ocean est en Avril 2015 le troisième en nombre de sites internets hébergés dans le monde, après Amazon et OVH (source).

 

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Des remarques ?

Et vous, vous utilisez ? Digital Ocean ou un autre service de serveur cloud ? Les retours et les échanges sont grandement appréciés 🙂 . Les tweets et les shares de l’article aussi, merci d’avance ! @ + !

12 thoughts to “Digital Ocean : si bien que ça ? Le test complet”

  1. Hello,

    Concernant l’offre, c’est une offre avec engagement ? Par exemple, chez OVH, c’est un engagement 1 an.

    En tout cas, merci pour cette article, il va me faire franchir le cap prochainement !

    1. Hello Stéphane,

      Il n’y a pas d’engagement, tu peux stopper tes droplets ou ton compte à tout moment ;).

      Pour reprendre leur FAQ : « You can cancel your account anytime through the control panel, under the settings tab. »

      Content que l’article t’ai éclairé 🙂 ! @ +

  2. Bonjour 🙂

    J’ai une petite question concernant le nom de domaine. J’ai mon NDD sur OVH, si je fais seulement pointé l’adresse IP dans ma zone DNS, cela suffis ? J’ai bien évidemment indiqué le NDD sur digital ocean comme indiqué dans ce billet 🙂

    1. Hello ! Désolé pour la réponse tardive 😛

      Normalement il suffit de modifier les enregistrements NS dans OVH et mettre ceux de digital Ocean :

      ns1.digitalocean.com
      ns2.digitalocean.com

      Et ensuite come tu l’as a priori fait, indiquer le NDD sur digital ocean. N’hésite pas à m’envoyer ton skype par mail (contact@seoshake.fr) je pourrai t’aider si tu rencontres des difficultés.

      ++ !

      1. Les serveurs DNS OVH ont plus de répondant que ceux de Digital Océan, si le NDD est chez OVH, il vaut mieux préserver leur système DNS (surtout dans le cas d’un Anycast) et faire une redirection de type A vers l’IP de Digital Ocean..

        1. Merci pour l’info Loic, mais c’est à dire exactement? Que se passerait il si l’on se contentait de modifier les enregistrements NS chez OVH ?
          Est cela même chose pour siteground?

  3. Bonjour Stéphane !
    Moi j’ai déjà souscrit pour un droplet de 10$ le mois sur lequel je fais tourner une application rails depuis bientôt un an. Je voudrais savoir s’il est possible de faire tourner plusieurs applications rails sur le même serveur, comme tu l’as fait avec wordpress. Si oui, comment procéder?

    Cordialement à toi.

  4. DO ne propose pas de datacenter en France, est ce pénalisant pour le SEO d’un site francais avec extension .Fr ?

    j’imagine qu’il est préférable d’avoir un serveur localisé en France avec une adresse IP Francaise ou ca ne joue pas du tout ?

  5. Le choix des prestataires en hébergement de sites webs est effectivement très vaste en France. Il faut juste allier les prestations avec le coût et surtout connaitre ses besoins. Digital Ocean me parait fiable et il y a encore d’autres professionnels qui méritent le tour au cas où vous hésitez.

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